Vidanger le véhicule au bon moment

Comprenez bien que le bon fonctionnement et la durée de vie du moteur dépendent de sa lubrification. Ainsi, il est important de vidanger le véhicule au bon moment. Cela peut se faire en se basant sur le kilométrage ou intervenir tout simplement une fois par an. Pensez à demander l’avis d’un spécialiste pour le choix d’huile moteur à utiliser. En effet, les moteurs sur les voitures de collection sont complètement différents de modèles actuels. C’est pour cette raison que vous devez bien choisir l’huile à utiliser sur votre véhicule de collection.

Vérifiez les pneus de temps en temps

Une défaillance des pneus peut causer un accident pouvant être mortel. De ce fait, vous devez prendre le temps de vérifier régulièrement l’état des pneus de votre véhicule. N’oubliez pas que la majorité des voitures de collections roulent avec des chambres à air dans les pneus. Ce type de pneumatique peut être difficile à trouver. Pensez en même temps à vérifier régulièrement l’état de vos pneus avant de prendre la route.

Inspectez les pièces importantes de la voiture

Le filtre à air fait partie des pièces les plus importantes sur une voiture de collection. Il assure la filtration de l’air qui se dirige vers le moteur. Un filtre à air bouché peut avoir un impact sur le bon fonctionnement du moteur. Vient ensuite le radiateur qui doit être nettoyé de temps à autre pour éviter l’apparition de tartes et de rouilles. Il ne faut pas non plus négliger la batterie qui peut manifester un suintement d’acides corrosifs pour le véhicule.

D’autres points d’entretien à ne pas négliger

Il est plus judicieux de bien protéger la carrosserie ainsi que les cuirs du véhicule quand vous ferez un entretien. Au volant, il est plus judicieux de ne pas surcharger le véhicule. Cela peut avoir un impact sur son état, mais aussi la facilité de conduite. Puis, il est important de bien choisir le lieu de stockage du véhicule pour ne pas le détériorer rapidement. Évitez par exemple de l’exposer aux caprices de la météo. Assurez-vous que votre garage ne soit pas humide et équipé d’un climatiseur.

Entretien d’un moteur à essence

On fera attention de respecter ces quelques conditions pour garantir la santé de sa voiture à essence. Chaque année, il faut penser à vidanger l’huile moteur après 10 000 km parcourus. Au moment même de la vidange, le recours à un nouveau filtre à huile est important. Par la même occasion, on ne manque pas de faire des vérifications en observant le niveau de liquide de refroidissement. Cette opération doit se répéter de manière assez régulière, toutefois, il est recommandé de le remplacer environ tous les ans. Au fil du temps, il perd de sa fiabilité et de ses propriétés. On n’oublie pas de jeter un œil sur la courroie de distribution, à changer elle aussi tous les 60 000 km pour les nouveaux véhicules, tandis que pour les anciens modèles, on n’attend pas aussi longtemps, au bout de seulement 24 000 km, on procède à son remplacement.

Entretien des équipements électriques

La bonne qualité des installations et équipements électriques participe à l’entretien d’une voiture à essence. Il convient dans ce cas de vérifier la batterie dès qu’elle manifeste des signes de faiblesse, c’est-à-dire en affichant une tension inférieure à 11,7V. L’alternateur qui est l’élément fournissant le courant électrique lorsqu’il épuise ses ressources, doit être changé afin d’assurer son fonctionnement au niveau du moteur. Les bougies d’allumage sont à revérifier tous les 15 000 km, en dehors des modèles équipés d’électrode centrale en platine. Il y a aussi les ampoules de feux qui nécessitent d’être régulièrement visités.

Autres éléments à vérifier

D’autres éléments sont à revérifier lorsqu’il s’agit de l’entretien d’une voiture à essence, notamment les freins, les amortisseurs, l’embrayage, les essuie-glaces, le lave-glace, et la climatisation. Tous ces éléments se joignent et se combinent afin d’améliorer la performance du véhicule une fois sur le circuit. Alors, à vos marques !

Initiation à la manutention et l’entretien courant des moteurs des bateaux de plaisance

Ce module compte plusieurs volets de formation qui se porte sur l’entretien des œuvres vives et mortes des bateaux de plaisance, la manutention et manœuvre des bateaux de plaisance au port, entretien des moteurs marins hors-bord et in-bord.

Technique d’équipement de bord

Issu de la formation, l’apprenti sera en mesure de procéder au câblage, à l’installation et au dépannage de tous les éléments électriques d’un bateau de plaisance. La période de formation dure quatre (4) semaines. Les matières enseignées se portent sur les techniques de montage et d’équipage, quel que soit le bateau de plaisance.

Formation à l’installation de marin de bateau de plaisance

Dans ce module, les élèves procèdent à la réalisation des outillages et des équipages des machines de fonctionnement de bateau de plaisance. Les élèves acquerront de même les notions et techniques d’installation de moteur marin hors-bord et in-bord. La formation dure six (6) semaines.

Contrôle et remplacement des pièces mécaniques et hydraulique d’une motorisation de bateau de plaisance

Au cours de la formation, les élèves acquièrent des compétences et de savoir-faire sur la vérification de circuit électrique, le montage des pièces à motorisation in-bord, le contrôle des circuits d’une transmission marine. La durée de formation est de huit (8) semaines.

A propos de certification

En fonction de l’institut de formation, les initiés peuvent obtenir un certificat au titre professionnel de niveau V (CAP/BEP) de mécanicien réparateur en marine de plaisance. Il y a les qualifications partielles qui se présentent en certificat de compétence professionnelle (CCP). Ainsi, à la fin de formation, vous pouvez obtenir un CCP sur un ou plusieurs modules. Il y a :
• Le CCP Réaliser la manutention et l’entretien courant des bateaux de plaisance qui comprend un seul module
• Le CCP Installer des moteurs marins et des équipements de bord dans des bateaux de plaisance sanctionnant le deuxième et le troisième module
• Le CCP Réaliser la maintenance des motorisations marines des bateaux de plaisance couronne la fin de formation du quatrième et cinquième module

Les possibilités des débouchés

Selon l’expérience, il y a une possibilité d’évolution dans le métier comme chef d’atelier et chef d’équipe. Des spécialisations dans le domaine de la mise au point de moteur, d’injection diesel de l’hydraulique et de l’électricité sont envisageables.

L’entretien des bougies d’allumage du moteur à essence

Avec le moteur à essence, les bougies peuvent présenter des signes d’usure après un certain nombre de kilomètres. Si le gaz d’échappement devient épais, c’est que les pièces se sont encrassées. Il faudra alors nettoyer individuellement chaque bougie. Si cette pièce est recouverte d’un film huileux, il faut la nettoyer et se pencher sur un problème au niveau de la lubrification. La qualité de l’essence peut également avoir un effet sur les bougies.

S’assurer du bon fonctionnement d’une bougie pour diésel

Sur une voiture diésel, le démarrage devient beaucoup plus difficile lorsque les bougies sont dans un piteux état. Il faudra alors les nettoyer ou demander à un mécanicien de le faire. Avec les voitures diésel, l’entretien peut être plus long puisqu’il faut aussi s’occuper des bougies de préchauffage. Ces dernières ne créent pas d’étincelle, mais peuvent occasionner quelques difficultés pour le moteur si jamais elles sont hors d’usage. L’entretien des éléments de moteur est à prendre très au sérieux pour les voitures diésel.

La fréquence de remplacement de ces pièces

Pour les voitures à essence, la durée de vie des bougies peut varier de 10 000 km à 50 000 km. En effet, certaines de ces pièces d’allumage sont tout simplement meilleures que d’autres. Il vaut mieux investir sur des marques reconnues. En ce qui concerne la bougie pour diésel, le remplacement devrait se faire tous les 40 000 à 80 000 km. Grâce aux modèles de préchauffage, la durée de vie est nettement plus rallongée. Par contre, la longévité de chaque bougie dépendra essentiellement du mode de conduite.

Les vérifications nécessaires

Quelques semaines avant les vacances, soumettez votre voiture à un contrôle technique. Cela vous permet déjà de réduire grandement les risques. Par ailleurs, le dépassement du délai prévu pour effectuer un contrôle technique est sanctionné par une amende de 135 €.
Un contrôle régulier ne vous met pourtant pas à l’abri d’une panne. Assurez-vous que tout va bien sous le capot : état des freins, huile moteur, liquide de refroidissement, liquide de lave-glace…
Essentiel pour votre sécurité, les pneus doivent aussi être au meilleur de leur forme. Un sous-gonflement augmente les risques de crevaison. Idéalement, leur pression devrait correspondre à la charge du véhicule. Pour rendre votre voyage supportable ne négligez pas la climatisation.
Enfin, n’oubliez pas d’emporter avec vous : un pneu de secours, un triangle de signalisation, plusieurs gilets de sécurité, un éthylotest ainsi que les outils habituellement nécessaires pour réparer une voiture (cric, tournevis, clef à roue, clef à douilles, etc.).

Sur la route

Faites régulièrement des pauses pour réduire le risque de somnolence au volant. Sinon changer régulièrement de conducteur pour les longs trajets. Pour éviter les bouchons, planifiez votre parcours avec Google map. Si vous n’utilisez pas encore d’outils d’aide à la conduite comme Waze ou Wikango, téléchargez-en un. Ils sont d’une très grande aide pour être informé sur les événements tels que les embouteillages, les accidents, les zones de contrôle, les dernières conditions météo, etc.

Des formations qualifiantes ou diplomantes

Il est à noter que selon le type de formation mécanique qu’on peut vous proposer, celle-ci peut être qualifiante ou diplomante. Si vous tenez exercer le métier de mécanicien, vous pouvez vous inscrire à une formation pour avoir le CAP Mécanique, le BTS Mécanique ou la licence pro Mécanique. Il existe également des formations pour devenir ingénieur spécialisé dans la mécanique ou dans l’industrie. Si vous envisagez une reconversion professionnelle, certains centres de formation proposent des formations professionnelles pour les adultes.

Les matières dans une formation mécanique

Lors de cette formation, les cours ne seront pas uniquement concentrés sur les entretiens et les réparations des voitures. Vous aurez également des cours qui vous apprendront des notions de chaîne de production, de machinisme et d’industrie. Parmi les cours, vous pouvez avoir les sciences et technologies, la mécatronique, le génie électrique, le génie industriel et la robotique. Les cours de maintenances des véhicules légers seront séparés et bien distingués de ceux des véhicules utilitaires et des véhicules industriels. Vous serez également amené à assister à quelques heures de cours d’industrialisation, d’informatique industrielle et de gestion de production. Pendant cette formation, vous aurez aussi des cours sur la vente automobile, la conception mécanique, le dimensionnement ainsi que la recherche et le développement. La formation mécanique n’est pas uniquement constituée de cours théoriques en salle, car vous serez également amené à faire des séances de pratique et à compléter votre formation en entreprise.

Pourquoi demander un enlèvement ?

Vous avez toutes les raisons du monde de demander un enlèvement de la carcasse de votre voiture qui ne fonctionne pas. La première étant qu’elle gêne la vue. Votre environnement s’en retrouvera tâcher alors que le paysage devrait être magnifique.
En second lieu, ce sera votre manière de participer à la protection de l’environnement et à la préservation de la mère Nature. Et pour cause, en enlevant un déchet, vous réduisez les émanations de gaz et protégez la couche d’ozone. Ainsi, le réchauffement de la planète sera encore une fois retardé.
Et enfin, la carcasse vous expose à tous les risques qu’impose l’exposition à des métaux lourds en permanence : plomb, etc. Selon les recherches, ils sont à la base de la grande majorité des maladies graves et dégénératives.

Des normes à respecter

Attention toutefois, se débarrasser d’une carcasse de voiture n’est pas simple et pas à la portée de tout le monde. Il faut être un expert pour ce faire, au risque de non seulement envenimer la situation, mais aussi être sujet à une peine d’amende. Les conditionnements de ce genre de déchet, de par le fait qu’il y a des risques d’exposition à des métaux lourds, sont très stricts. Il faut suivre des formations pour se targuer et pouvoir s’en charger.
Il convient aussi de souligner que l’enlèvement de carcasse de voiture n’est pas du ressort des entreprises de récoltes de déchet encombrant. Ce sont des prestataires spécifiques qui s’en occupent, le tout gratuitement. Il vous suffit de remplir un formulaire en ligne et ces derniers se dépêcheront sur place.
L’enlèvement peut prendre plusieurs minutes selon la taille de la carcasse à prendre en charge. Et de toute façon, faire preuve de minutie et de rigueur est bien plus important que la précipitation dans ce genre de cas.

1ère étape : démontage

La première chose à faire est de procéder au démontage du carburateur. Pour ce faire, on commence par dévisser le collier afin de démonter l’arrivée du cornet ou de la boîte à air. Ensuite, on dévisse le collier qui se trouve sur la pipe. Cela permet d’extraire facilement le carburateur. Il ne reste plus qu’à dévisser le couvercle du boisseau ainsi que de retirer les joints toriques.

2ème étape : nettoyage

Une fois que le carburateur a été démonté, on peut immédiatement passer à la phase de nettoyage. On n’a besoins que d’un spray spécial nettoyant carburateur et d’un outil de nettoyage pour gicleur. On nettoie donc le boisseau avec le spray. Puis, on dévisse la cuve du carburateur avant de la nettoyer également avec le spray. Après, on retire les gicleurs en se munissant de l’outil de nettoyage spécifique. On introduit ensuite la cale dans les trous du gicleur avant de finir de les nettoyer avec le spray. Il faut que le diamètre de la cale choisi soit le bon pour que l’opération puisse se faire. Sinon, il ne faut pas oublier le corps du carburateur. En effet, il est aussi important qu’il soit bien propre. Il ne reste plus qu’à se munir d’un chiffon bien propre pour bien sécher le tout. Et pour être sûr qu’il ne reste vraiment plus aucune impureté, il faut souffler un peu le tout. Maintenant, on remonte correctement le carburateur et sa deux roues est prête à faire la route.
Il est à noter que ces conseils sont aussi valables pour le nettoyage du carburateur d’un scooter.

Avant que la batterie soit à plat

En fait, il est bon de savoir qu’une batterie à plat aura envoyé d’abord quelques signaux qu’il ne faut pas ignorer. Evidemment, si on ne les connait pas, on augmente les risques de tomber en panne et de devoir payer les gros frais de remorquage et de réparation. Mais quels sont les signes précurseurs d’une batterie bientôt à plat? Il faut prêter attention à l’éclairage des phares et si ceux-ci envoient une lumière faible à l’arrêt et qu’elle devienne puissante au démarrage.

Comment savoir qu’une batterie est presqu’à plat ?

Il est important de savoir les éléments indiquant qu’une batterie est sur le point d’être à plat. A part la question de l’éclairage, il y a aussi prêter attention au côté démarreur, s’il pousse très fort avant de s’enclencher et s’il a du mal à démarrer. Parfois, il faut ouvrir le capot de la voiture et vérifier si ce n’est pas tout simplement une histoire de câbles mal fixés – qu’il faut donc bien fixer – qui empêche la batterie charge comme il faut et qui fait que la batterie risque d’être à plat.